Mécrin Eglise

Eglise Saint-Evre 1886-1937

Ouvert tous les jours

Bénie le 3 novembre 1886, par monseigneur Gonindard, évêque de Verdun dont les armoiries, avec celles du Pape Léon XIII, sont peintes dans le transept; cette église néo-romane remplace un édifice construit entre le XIIIè et le XVIè siècle. La fabrique affecte les revenus de la carrière de Mécrin, qu’elle possède, au financement de ce chantier. Gravement endommagée pendant la première Guerre Mondiale, l’église est restaurée dans les années 1920 et à nouveau consacrée en 1937. Les vitraux actuels sont l’oeuvre des ateliers Benoit de Nancy.

Les fresques de la nef et du transept sont réalisées en 1936-1937 par Donzelli, les huit panneaux retracent la vie du Saint patron. Un Tétramorphe a été placé à la croisée du transept tandis que le thème du sacrifice domine dans le chœur. Les sacrifices respectifs d’Abel et d’Abraham apparaissent de part et d’autre de l’autel sur lequel est célébrée l’eucharistie. Sur la voûte, la citation du canon de la messe évoque également ce sacrement. Les apôtre figurent sur les murs de l’abside.

 

Dans la chapelle des Fonds est installé le retable de l’autel de Saint-Evre, dernier vestige de l’ancienne église. Né à Troyes, Saint-Evre est le septième évêque de Toul, de 500 à 507.

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