Jusqu’à l’électrification de la ligne Paris – Strasbourg, la gare de Loxéville sert d’abord à la manœuvre des locomotives supplémentaires attelées aux convois lourds qui gravissaient la rampe de Loxéville, une des plus fortes de France. Point de passage obligé entre les vallées de l’Ornain et de la Meuse, la rampe disposait de deux voies supplémentaires pour les convois lents.